Émergente, la valeur verte se mesure plus par la décote des bâtiments les moins vertueux que par une survaleur. En tertiaire, elle est sans doute plus présente que dans l’habitat malgré la relative faiblesse du marché.
Existe-t-il une valeur verte ? La question ne se pose guère plus suite aux recherches menées depuis plusieurs années par différents organismes et institutions internationales. Il s’agit plus de savoir comment elle se définit, de mesurer son importance et de connaître ses effets. Car les fourchettes avancées pour la valeur supplémentaire (ou la décote) varient considérablement. « Il faut donc faire émerger des indicateurs de performances qui faciliteront son identification », commente Frank Hovorka, directeur Immobilier durable à la Caisse des dépôts.
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